SHERLOCK HOLMES CONTRE JACK L’EVENTREUR

 

 

Mon ami Death-Mask666 m'a promis un article consacré à Holmes et le fantasme de certains qui pensent qu'il pourrait être Holmes lui-même. Je n'y ai jamais cru. Un personnage de fiction n'est pas un être de chair et de sang.

 

En attendant son article, je vous propose déjà cela...

 

 

Dans la littérature

 
   
    La lutte fictive entre le détective de Baker Street et le mystérieux assassin de Whitechapel est un classique qui a fait l’objet de plusieurs dizaines d’adaptations sous la forme de romans, nouvelles, pièces de théâtre, articles, films, épisodes de séries TV, etc. En voici un aperçu :
   
    - ANONYME : Huru Jack Uppskäraren blev tillfangatagen, Suède (1901) (roman).
    N° 18 dans la série Sherlock Holmes Detective Stories. Trente-sept femmes sont assassinées par le Dr Fitzgerald.
   
    - Les dossiers secrets du Roi des détectives : Jack l’Eventreur, Fascicule n° 16 publié par les Editions de la Nouvelle Populaire (Fernand Laven), France (6 février 1908) & in Le livre rouge de Jack l’Eventreur, Editions Grasset (1997).
    Il s’agit d’une traduction de l’allemand de la série Aus den Geheimakten des Welt Detektivs : Wie Jack, der Aufschlitzer, gefasst wurde, fascicule n° 18 (1907), où Sherlock Holmes affronte Jack l’Eventreur.
   
    - Aventuras extraordinarias d’um policia secreta : Jack, o estripador, Fascicule n° 19 traduit en portugais des Dossiers secrets du Roi des détectives, Portugal (1909).
   
    - Memorias Intimas de Sherlock Holmes : Jack, el Destripador, Fascicule n° 5 de Editorial Atlante, à Barcelone, Espagne (1912).
   
    - Arnould GALOPIN : L’homme au complet gris, Editions Albin Michel, France (1931) (roman).
    Le détective Herlokoms, aidé par son assistant, Allan Dickson, traque Jack l’Eventreur, qui est un marin à bord de l’Arabella et qui mutile atrocement des femmes dans chaque port. Ce pastiche de Sherlock Holmes, où le héros s’injecte de la morphine, est la deuxième aventure d’Herlokolms après La ténébreuse affaire de Green Park, déjà parue chez Albin Michel.
   
    - Page HELDENBRAND : Another Bohemian Scandal in The Baker Street Journal volume 4 n° 1 de janvier 1949 (nouvelle).
    Sherlock Holmes échoue dans sa tentative de capturer Jack l’Eventreur.
   
    - Anthony BOUCHER : Jack el Distripador (1945) (nouvelle).
    L’auteur a traduit de l’espagnol une aventure de Sherlock Holmes où celui-ci manque de peu d’être la quarantième victime de l’Eventreur.
   
    - Gordon NEITZKE : Sherlock Holmes and Jack the Ripper in Illustrious Client’s Third Case-Book, Etats-Unis (1953).
    Dans un bref passage de quatre pages, le Dr John H. Watson est identifié comme étant Jack l’Eventreur.
   
    - Edgar W. SMITH : The Suppressed Adventure Of the Worst Man in London in Baker Street and Beyond: Tohether with Some Trifling Monographs, Etats-Unis (1957) (article).
    L’auteur spécule sur une intervention restée secrète de Sherlock Holmes concernant Jack l’Eventreur.
   
    - Charles FISHER : A Challenge from Baker Street in Leaves from the Copper Beeches, Etats-Unis (1959).
    Dans ce chapitre de dix-sept pages, Fisher démontre que Sherlock Holmes a identifié Jack l’Eventreur, un certain Horace Harker, qui travaillait sous les ordres du professeur Moriarty.
   
    - William S. BARING-GOULD: Sherlock Holmes : A Biography of the World’s First Consulting Detective, Angleterre (1962).
    Le chapitre XV montre Sherlock Holmes en travesti qui est presque tué par Jack l’Eventreur, avant d’être sauvé par le Dr Watson.
   
    - Flemming CHRISTENSEN : Who’s Afraid of Big Bad Jack ? Or An Attempt to Disclose the Identity of Jack the Ripper in The Baker Street Journal volume 15 n° 4 de décembre 1965 (article).
    Un texte qui démontre “de façon indiscutable” que “ce monstre assoiffé de sang” n’est autre que John H. Watson, le compagnon de Sherlock Holmes.
    - L.W. BAILEY: The Case of the Unmentioned Case: A Sherlock Holmes Speculation, Angleterre (1966) (article).
    Dans le journal anglais The Listener n° 74 du 16 décembre & The Baker Street Journal volume 16 n° 3 de septembre 1966, l’auteur prouve sur deux pages que Sherlock Holmes est Jack l’Eventreur :
    “Comme Sherlock Holmes ne mentionne jamais Jack l’Eventreur, bien que les meurtres se soient déroulés entre 1888 et 1891 quand Holmes était à son zénith ; Holmes ne fut jamais consulté au sujet de ces assassinats ; une des victimes a été vue en compagnie d’un homme portant un chapeau de chasse ; les deux hommes connaissaient à merveille l’East End, la manière de se déguiser, ainsi que l’anatomie ; Jack avait une profonde aversion pour les femmes et le sexe, tandis que Holmes n’était pas attiré par la gente féminine ; et comme Holmes était fou et séparé de Watson à cette époque, nous en déduisons que Sherlock Holmes était probablement Jack l’Eventreur.”
   
    - Ellery QUEEN : A Study in Terror (autre titre: Sherlock Holmes vs. Jack the Ripper), Etats-Unis (1966). Traduit sous le titre de Sherlock Holmes contre Jack l’Eventreur, (Stock ; 1968), puis (Editions J’Ai Lu n° 2607 ; mai 1989).
   
    - Bruce DETTMAN : Who Wasn’t Jack the Ripper in The Baker Street Journal volume 17 n° 4 de décembre 1967 (article).
    Pendant deux pages, l’auteur indique qu’aucun des personnages des aventures de Sherlock Holmes n’était Jack l’Eventreur et que Holmes a échoué dans sa tentative de capturer l’assassin.
    Lors d’un procès, un avocat fait avouer Holmes qui admet être Jack l’Eventreur.
   
    - Bruce KENNEDY : Jack in Abyss in The Baker Street Journal volume 17 n° 4 de décembre 1967 (nouvelle).
    Le professeur Moriarty est Jack l’Eventreur.
   
    - Miles MASTERS : The Adventure of the Second Stain in The Sunday Times News Magazine du 10 décembre 1967, Afrique du Sud (nouvelle).
    Sherlock Holmes est accusé d’être l’auteur des crimes de Whitechapel. Ce texte remporte le deuxième prix d’un concours de nouvelles organisé par le journal.
   
    - Flemming CHRISTENSEN : Who Wasn’t Turner ? in The Baker Street Journal volume 18 n° 2 de juin 1968 (article).
    Un bref article d’une page donne des preuves supplémentaires quant à la culpabilité du Dr Watson, le bras droit de Sherlock Holmes, concernant les crimes de Whitechapel.
   
    - Edward S. LAUTERBACH : Holmes and the Ripper in The Baker Street Journal volume 18 n° 2 de juin 1968 (poème).
    Un poème de trente et un vers qui raconte comment Sherlock Holmes et le Dr Watson identifient l’Eventreur (“Jack the Rip”) en la personne de Moriarty, avant de le tuer.
   
    - Alex N. SALOWICH : He Could Not Have Sat Idly in The Baker Street Journal volume 18 n° 2 de juin 1968 (nouvelle).
    Sherlock Holmes enquête sur les crimes de Whitechapel : il élimine Athelney Jones, le Dr Watson et le professeur Moriarty de la liste des suspects, avant de choisir un médecin, Sir James Saunders. Mais le détective garde le silence afin de protéger la réputation de la profession médicale londonienne.
   
    - Robert A. WHITEHEAD : Lettre in The Baker Street Journal volume 18 n° 2 de juin 1968 (lettre).
    Dans la rubrique du “Courrier des lecteurs”, Robert Whitehead constate l’échec de Sherlock Holmes sur l’affaire des crimes de l’Eventreur.
   
    - Jack LEAVITT : Mr Holmes, Please Take the Strand in The Baker Street Journal volume 18 n° 3 de septembre 1968 (nouvelle).
    Lors d’un procès, un avocat fait avouer Holmes qui admet être Jack l’Eventreur.
   
    - Michael AVALLONE : A Theory Holmes Would Have Liked, Angleterre (1973).
    Dans cette nouvelle publiée dans le quotidien anglais Daily Express du 2 août 1973, l’auteur américain suggère que Sir Arthur Conan Doyle était Jack l’Eventreur.
   
    - Michael HARRISON : The Ripper and the Crown in The World of Sherlock Holmes, Angleterre (1973) (nouvelle).
    Une nouvelle de neuf pages où Sherlock Holmes affronte Jack l’Eventreur.
   
    - John GARDNER : The Return of Moriarty (“Le retour de Moriarty”, Editions Jean-Claude Lattès, 1974 & Collection “Le Miroir Obscur” n° 88, Editions NéO, 1984), Angleterre (1974) (roman).
    “En août 1974, John Gardner, l’un des meilleurs auteurs anglais actuels de romans d’espionnage, recevait des mains d’Albert Spear, un truand repenti dont il avait fait la connaissance au cours d’une enquête sur les méthodes d’investigation de la police, un curieux document chiffré : le journal intime du professeur James Moriarty. Gardner, aidé de quelques amis, entreprit de déchiffrer le document et de le publier, afin de porter à la connaissance du public le rôle de Moriarty dans l’affaire Goncourt, ses relations avec Jack l’Eventreur, ses pactes avec Sherlock Holmes. L’énigme Jack the Ripper y reçoit une solution on ne peut plus vraisemblable qui explique l’impuissance de la police à découvrir le coupable, et la mystérieuse réapparition de Holmes après le duel de Reichenbach Falls, une explication. John Gardner, dans cet excellent roman, justifie avec rigueur et vigueur le surnom de Moriarty : le Napoléon du crime (ce que les écrits de Conan Doyle, par leur évidente partialité, ne faisaient guère).” Jean-Pierre Deloux (Polar n° 11, avril 1980).
   
    - John SLADEK : Black Aura (“L’aura maléfique”, Collection “Engrenage International” n° 133, Editions Fleuve Noir, février 1986, pages 75 à 77), Angleterre (1974) (roman).
    Dans le chapitre V de ce roman, le détective Thackeray Phin, le “Sherlock Holmes américain des années 70”, disserte sur les crimes de Jack l’Eventreur et démontre que le Dr Watson est le coupable.
   
    - Markus LEICHT : Le tueur fou dans le cimetière des rêves. Une plaquette publiée à Lyon en 1977 où Sherlock Holmes affronte Jack l’Eventreur en 1888.
   
    - Michael DIBDIN : The Last Sherlock Holmes Story (“L’ultime défi de Sherlock Holmes” ; Editions Rivages, 1994), Angleterre (1978) (roman).
    En 1976 est porté à la connaissance du public un document du Dr Watson qui révèle la véritable identité de Jack l’Eventreur après l’enquête menée par Sherlock Holmes qui est persuadé que le mystérieux criminel n’est autre que son ennemi juré, Moriarty.
   
    - Arthur Byron COVER : An East Wind Coming, Etats-Unis (1979) (roman).
    A deux millions d’années dans le futur, Sherlock Holmes et le Dr Watson affrontent Jack l’Eventreur qui est immortel. Des extraits de ce roman parurent en prépublication dans la revue Heavy Metal, volume III n° 2 en juin 1979.
   
    - Robert WEVERKA : Murder by Decree, Etats-Unis (1979) (roman).
    Une novelisation du film, Meurtre par décret, de Bob Clark.
   
   
    - Albert DAVIDSON (pseudonyme de René REOUVEN) : Elementaire, mon cher Holmes (Collection “Sueurs froides”, Editions Denoël, 1982 & in Histoires secrètes de Sherlock Holmes, “Sueurs froides”, Editions Denoël, septembre 1993. Volume omnibus de 1003 pages avec une introduction de Jacques Baudou reprenant tout le cycle “Sherlock Holmes” de René Réouven), France (1982) (roman).
   
    - Ray WALSH : The Mycroft Memoranda, Angleterre (1984) (roman).
    Par l’entremise du journal intime du Dr Watson et du carnet de notes de Sherlock Holmes, nous découvrons pourquoi le célèbre détective n’a jamais révélé l’identité de Jack l’Eventreur.
   
    - Jérôme HESSE : Sir James - Les aventures de Sir James Houseboard, France (Ed. Olivier Orban ; 1985) (roman).
    Londres, en mars 1889, Henry O’Mindes, chef de Scotland Yard, demande à son ami, le professeur Houseboard, de l’aider à identifier Jack l’Eventreur. Spécialiste dans l’étude des fourmis et franc-maçon, James Houseboard ressemble à s’y méprendre à Sherlock Holmes dans cet excellent roman qui est la seconde aventure du détective après Cher James (Editions Olivier Orban, 1984) qui se déroulait à Paris au temps du général Boulanger. Un troisième récit, James et le secret du Temple d’Or, était annoncé, mais il est apparemment jamais paru.
   
    - M.J. TROW : The Supreme Adventure of Inspector Lestrade, Angleterre (1985) (roman).
   
    - André-Paul DUCHATEAU : Le Noël de Sherlock Holmes in Télé-Moustique Hebdo (décembre 1989) & in Sherlock Holmes revient (Collection “Attitudes-Mystère”, Editions Claude Lefrancq, Belgique, 1992), Belgique (1989) (nouvelle).
   
    - Edward B. HANNA : The Whitechapel Horrors, Etats-Unis (1992) (roman).
    Sherlock Holmes contre Jack l’Eventreur.
   
    - Emmanuel MENARD : La dernière victime, Collection “Le Masque” n° 2084, Librairie des Champs-Elysées (avril 1992), France (roman).
    Prix du roman policier du festival de Cognac en 1992 où, pour une fois, c’est le créateur de Sherlock Holmes, Arthur Conan Doyle, qui vient se mêler à cet ingénieux roman d’énigme qui fait remonter la série de crimes de Jack l’Eventreur à l’assassinat d’une prostituée en 1873.
   
    - André-Paul DUCHATEAU & STIBANE : Jack l’Eventreur ou Ricoletti au pied bot, Collection “Le Masque Présente : Sherlock Holmes n° 4”, BDétectives n° 29, Editions Claude Lefrancq, Belgique (1994) (bande dessinée).
   
    - Rick GEARY : Jack the Ripper - A Treasury of Victorian Murder, Etats-Unis (1995) (roman).
   
    - Jean-Jacques SIRKIS : La grand-mère de Sherlock Holmes, Nouvelles Editions Séguier, France (1995).
    “Sherlock Holmes enquête sur ses propres origines. Il sait que sa grand-mère paternelle était de nationalité française. Il découvre qu’elle fut guillotinée peu avant Thermidor et qu’elle appartenait à une lignée de peintres et miniaturistes : les Vernet. Ayant eu des bontés pour un aventurier mêlé aux luttes irlandaises contre les Britanniques, George Holmes, connu aussi sous une huitaine de pseudonymes, elle mit au monde Anacrion Holmes, père de Sherlock et de son frère Mycroft. Du côté maternal, il se découvre une ascendance hispano-cubaine ! Au fil de son enquête, il ne manque pas de résoudre une douzaine d’énigmes (dont une concernant Jack l’Eventreur) et de rencontrer des célébrités de l’époque : Sarah Bernardt, Catulle Mendès, Oscar Wilde, Victorien Sardou, Milly Melba, etc.”

 

   

CINEMA & TELEVISION

  
   
    - THE THISTLE KILLER (“L’assassin aux chardons”) Episode n° 20 de la série THE NEW ADVENTURES OF SHERLOCK HOLMES (“Les nouvelles aventures de Sherlock Holmes”). Diffusé le 14 février 1955 sur NBC. Réalisé & produit par Sheldon Reynolds avec Ronald Howard (Sherlock Holmes), H. Marion Crawford (Dr Watson), Richard Watson (Phoenix).
    Un tueur en série assassine cinq femmes en cinq nuits à Londres. Près de chaque cadavre, il dépose trois chardons.
   
    - A STUDY IN TERROR (“Sherlock Holmes contre Jack l’Eventreur”) (Angleterre, 1965) Couleurs. Réalisé par James Hill avec John Neville, Donald Houston, John Fraser (Jack l’Eventreur), Anthony Quayle, Robert Morley.
    Signalons aussi le très rare LP sorti chez Roulette Records OSS 801 (1966).
   
    - MURDER BY DECREE (“Meurtre par décret”) (Angleterre/Canada, 1979) Couleurs. Réalisé par Bob Clark avec Christopher Plummer, James Mason, David Hemmings, Susan Clark, Geneviève Bujold, Donald Sutherland, Anthony Quayle, John Gielgud.

 

Pour la sortie en DVD dans la collection “Série Noire” de “Meurtre par décret”, Studio Canal propose en bonus un documentaire de 17 minutes, “Sherlock contre Jack”, où Stéphane Bourgoin, auteur de deux ouvrages sur Jack l’Eventreur, fait le point sur les diverses théories concernant le meurtrier de Whitechapel, ainsi que ses adaptations cinématographiques.
   
    MEURTRE PAR DECRET
   
    Sollicités par une association d’habitants de Withechapel, Sherlock Holmes et le docteur Watson se lancent sur les traces de Jack l’Eventreur. Mais plus le limier approche du but, plus la menace se fait pesante : les indices et les témoins disparaissent et la vie de Sherlock Holmes se trouve directement menacée par des forces implacables qui semblent dirigées par quelqu’un de très haut placé … Il se pourrait bien que cette sombre histoire née du ruisseau aboutisse dans les hautes sphères du pouvoir …
   
    Cet excellent film du canadien Bob Clark est basé sur les théories - fantaisistes - de l’écrivain Stephen Knight dans son ouvrage best-seller, “Jack the Ripper : The Final Solution”. Médecin de la reine Victoria, Sir William Gull est aussi un franc-maçon qui agit sur les ordres de Lord Salisbury, le Premier ministre, afin d’éliminer Mary Kelly et ses amies prostituées. Ces dernières auraient essayé de faire chanter le gouvernement à cause du mariage secret - et illégal - du Prince Albert Victor, duc de Clarence, avec la roturière Annie Elizabeth Crook. Les mutilations causées par le trio meurtrier étant la signature maçonnique du prix à payer pour la trahison d’un secret d’Etat.
   
    Titre original : Murder by decree
    Réalisateur : Bob Clark
    Année : 1978
    Durée : 1h 58mn
    Avec : Christopher Plummer (Sherlock Holmes), James Mason (Docteur Watson), David Hemmings, Susan Clark, Anthony Quayle, John Gielgud, Frank Finlay, Donald Sutherland et Geneviève Bujold.
    Suppléments : Filmographies, affiches et photos et un documentaire "Sherlock contre Jack" avec Stéphane Bourgoin.