• Le yaoi met en scène des relations homosexuelles entre hommes et le yuri des relations homosexuelles entre femmes.

• Le slash met en scène un couple de deux hommes dans un univers yaoi (de même que le femslash pour un couple de deux femmes dans un univers yuri)

• Le het met en scène des relations hétérosexuelles.

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Malheureusement, il y a peu d'auteurs qui écrivent sur une relation entre Holmes et une femme (que se soit Irène ou une autre).

 

Dommage, car l'exercice est plus compliqué, du fait qu'il n'est pas évident de faire cohabiter Holmes avec une femme.

 

Il est plus facile de le caser avec Watson puisqu'ils vivent déjà sous le même toit, sont toujours ensemble et l'auteur ne doit pas se casser la tête pour son histoire : l'autre est déjà dans la place.

 

Sans compter ceux qui ne rédigent des histoires que pour placer une scène de sexe...

 

Après avoir souffert de ne jamais lire une scène un peu plus osée entre Holmes et une femme, après avoir été un peu déçu du livre de Hardwicke (la vie privée de Sherlock Holmes) qui m'a laissé un goût de trop peu, après avoir frémi dans le livre de Soares (élémentaire, ma chère Sarah) en lisant les passages où Holmes se faisait faire une gâterie par une femme, qui fut à chaque fois interrompu avant l'instant ultime, lui faisant quitter le Brésil sans avoir eu le plaisir de connaître l'éjaculation, je sature des auteurs qui n'écrivent que pour la scène de sexe, toujours entre Holmes et Watson...

 

Alors, je vais faire l'apologie des auteurs qui osent nager à contre-courant, qui osent sortir des sentiers battus, pour ne pas dire des autoroutes de l'écriture où tout les autres s'engoufrent, tel des moutons de panurge. Ceux qui se moquent bien de la mode et qui écrive selon leurs convictions.

 

Attention, je ne dis pas que tous les auteurs de fics suivent une mode. Non, pour certains, c'est un état d'esprit. Mais pas tous.

 

Les auteurs qui nagent à contre-courant :

 

Hélas, elles sont peu nombreuses...

 

A croire qu'il est de bon ton d'écrire des récits mettant en scène des relations homosexuelles. Je n'ai rien contre l'homosexualité, mais bon, si chaque histoire que je voudrais bien lire en est infestée, au point d'en devenir indigeste...

 

Tous les couples sont permis, apparement... Moi, je vais vous donner les noms, des auteurs qui n'écrivent pas de slash, un bref résumé de leurs histoires et le lien vers les histoires. Je pense qu'ils (elles) méritent bien qu'on les encourage. Il faut avoir du courage pour ne pas sombrer dans l'addiction du moment et faire cavalier seul dans le monde de la fanfiction.

 

Les pitch sont en fait un copié/collé des résumés fait par les auteurs. Tout ce qui est en noir est mon avis personnel.

 

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Lilou0803 : à mon avis, la meilleur de toutes les auteurs. Elle respecte très bien le canon, tout en nous le dépoussièrant un peu. Holmes parle un peu de ses relations avec les femmes et surtout, sa relation avec Irène Adler. Il manque juste la version de ce que Holmes a bien pu faire avec Irène, lors de son hiatus...

 

Les mémoires de John Watson : Cette histoire se passe un peu après le hiatus.L'auteur nous fait des petites révélations sur Holmes, sans oublier une petite enquête sur Jack l'éventreur. Un pur régal.

Le pitch : Récemment, le petit fils du Dr Watson a retrouvé de nouveaux écrits de son grand-père, apportant un nouveau regard sur la personnalité de Sherlock Holmes. Avec son autorisation, nous les publions ici en exclusivité mondiale.

 

Not in blood, but in bond :  Tiré du film de Guy Ritchie. Excellent.

Le pitch : Après le mariage de Watson, Sherlock Holmes se retrouve seul... Les vieux démons se réveillent.

 

Son secret : Un O-S qui m'a fait plaisir car Holmes parle de ce qu'il a ressentit pour Irène, mais il le fait de manière discrète. Beau, tout simplement.

Le pitch : Pour une fois, Watson a le courage d'aborder un sujet sensible pour Holmes.

 

L'ombre du passé : Encore une excellente histoire. Holmes a aimé, mais il a du mal à recommencer...

Crossover entre Sherlock Holmes de Guy Ritchie 2009 et Young Sherlock Holmes -Le secret de la pyramide- de Steven Spielberg 1985.

Le pitch : Lorsque les ombres du passé influent sur le présent...

 

Après l'effort : Pour rire... Mais c'était jouissif de lire l'histoire. Tout est suggéré.

Missing scene" - Après la mort de lord Blackwood, petite discussion entre Sherlock Holmes et le dr Watson.

 

Un jour peut-être : A la fin de « Un scandale en Bohème », la nuit suivant le mariage d’Irène Adler.

Avertissement de l'auteur : Ceci n’est pas sensé être une fic relativement « holmésienne » comme celles que j’ai déjà écrites (même si j’avoue un petit faible pour ce couple… Que diable, même Holmes a un cœur, même s’il ne l’avouerait jamais, même sous la torture, alors, pourquoi pas elle?

Explication : Dimanche dernier morose, mais agrémenté d’un petit défi/délire entre amies : composer, en une heure, une ficlet à l’eau de rose, dégoulinante de sucre et digne d’un roman « Harlequin », et avec des personnages de préférence OOC… Et voilà le résultat (je pense n’avoir pas oublié beaucoup de poncifs du genre, et plus OOC qu’un Holmes amoureux… quoi que, sait-on jamais avec un pareil énergumène!^^)

Le pitch : Holmes et Irène ont déjà passé une nuit ensemble, il y a longtemps... Les voilà qu'ils se retrouvent pour l'affaire du "Scandale"... Guimauve, mais cela fait tellement du bien de lire Holmes qui embrasse Irène... Ne passez pas à côté de ça !

 

Pour l'amour d'une rose : Dans "les mémoires de Watson", l'auteure nous avait parlé d'une aventure entre Holmes et Irène, lors du hiatus. J'avais commenté la fic et lui avait signalé que j'aurais bien aimé lire ce qu'il s'était passé entre eus deux. Merveilleux ! L'auteur, dans à un message privé, m'avait signalé que cette partie là était inachevée. Et voilà que suite à ce mail, elle a décidé de le terminer.

Le pitch : Sherlock Holmes amoureux… J'aurais pu inventer une autre femme, mais il y en a une de tellement évidente dans le canon ! Guimauve, NC-17 et OOC... Vous êtes prévenus! S.Holmes, I.Adler, J.Watson

 

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Cellulose : Elle a écrit quelques histoires avec Irène Adler. Une de ses fics partait très bien, mais elle ne l'a jamais finie, ce qui est bien dommage. Moi, je ne vous donnerai que celles qui sont terminées !

L'amour est un complot : J'ai adoré la manière dont Irène s'introduit dans le meublé de Holmes.

Le pitch : Désespéré de l'attitude de Holmes envers Mary, Watson fait appel à la seule personne qui puisse l'influencer. On se demande bien qui...

 

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Sherlockette : un petit OS sympa avec Irène Adler...

Criminelle :

Le pitch : Quand Sherlock rencontre Irène, ça fait Boum...

 

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Calimera : une petite liste bien marrante !

20 raisons :

One Shot. Vingt raisons sur le thème suivant : Pourquoi Sherlock Holmes ne s'est jamais et ne sera jamais marié ? 

 

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Belette2911 : la grande saga ! Digne d'un roman... Et elle ne plante pas ses lecteurs, en plus! Là où certains arrête, elle, elle continue à publier son histoire, inventant moult personnages pour égayer l'histoire. Il y a un personnage gay, mais ce n'est ni Holmes, ni Watson ! Ouf.

 

Le ruban moucheté : la véritable histoire (1ère partie) : On commence en douceur. L'histoire se passe en 1885. Son Holmes est un mélange de Jeremy Brett et de Robert Downey Junior.

Le pitch : La véritable version racontée par Holmes... Celle que Watson n'a pas osé raconter! Vous saurez comment une jeune femme a su percer sa carapace d'insensibilité!

 

Le ruban moucheté (2ème et 3è partie) : La suite des aventures de la première, plus violente, ainsi qu'une grande enquête en Normandie où Holmes va emmener Hélène avec lui, sous le regard courouccé de Watson qui n'aime pas trop ça. Pas parce qu'il aime Holmes, non, juste pour les convenances que ni Holmes, ni Hélène ne vont respecter. Au départ, je m'étais demandé pourquoi Watson était si odieux avec Hélène, mais l'explication viendra en son temps.Nous avons droit à quelques petits traits d'humour sur le fait que Holmes et Watson n'auraient jamais une relation. Tout est dans l'humour... Même si un chapitre m'a fait sursauter... J'ai eu chaud.

L'auteur écrivant sur le long terme, elle se permet de nous glisser des fils rouges que l'on retrouve tout au long de l'histoire. Sans oublier les notes en bas de page pour expliquer aux lecteurs d'où elle tient ça. L'enquête met le temps de se mettre en place, soyez patient. Le final est assez animé. Puis, tout se calme dans les derniers chapitres, l'auteur passant au stade un peu plus... coquin.

Le pitch : 2è partie: "Là où tout à basculé" je n'en dis pas plus et 3è partie "Enquête en Normandie". Grande enquête de Holmes qui a besoin d'Hélène pour la résoudre. Ils vont devoir se faire passer pour un couple lors de l'enquête.

 

Le ruban moucheté : retour à Baker Street (4è partie) : Quel pan de vie du 221b !! Holmes doit ruser pour voir Hélène, qui, entretemps, à aplani ses différents avec Watson. On y retrouve un Holmes torturé, se posant de nombreuses questions sur sa relation. Mais j'avoue que je ne m'attendais pas à un final ainsi... (ce n'est pas une death-fic, je vous rassure). L'auteur m'a étonné ! Nous sommes toujours en 1885.

Le pitch : L'enquête en Normandie est terminée, nos amis sont de retour chez eux.Humour scènes de vie au 221b. Holmes cache à Watson sa relation avec Hélène.Du 4 mai au 11 octobre 1885.Deux enquêtes.

 

De l'ombre à la lumière (ruban moucheté 5è partie) : L'auteur nous écrit une petite enquête avec un codicille qui m'a appris une partie de l'histoire. Il fallait y penser.  Holmes a affaire à un maître chanteur qui a un document expertisé, mais il doit prouver que c'est un faux... Comment faire ? Surtout que la résolution ne vient pas de là où on l'attendait, mais d'un personnage fort agréable, inventé par l'auteur.

Ensuite, elle se laisse aller avec une longue enquête ésotérique (longue en chapitres, pas en jour d'enquête), assez glauque, mais pas au point de heurter les esprits sensibles... quoique...Son final m'a laissé sur le cul, je n'y avais pas pensé.Toute l'enquête se déroulera sous la neige, nous sommes en décembre 1885.

Sans oublier qu'après cela, elle fait des bons dans le temps, passant en revue "le signe des quatre", le mariage de Watson et "le scandale en Bohême" qui m'a vraiment bien plu. Ah, Irène...

Passant à l'année 1889, elle réintroduit un personnage qui nous avait quitté à la fin de la partie 4, m'étonnant par ses révélations. Au moment où je rédigeais cet article, la fic de 100 chapitres n'était pas complète. Elle l'est à ce jour et une sixième partie est en cours.

Le pitch :  Holmes est torturé depuis le départ d'Hélène. En attendant, il aura de quoi s'occuper l'esprit avec deux enquêtes : une courte sans cadavres et une plus longue avec 4 cadavres, tués de manière peu conventionnelle.

 

Un couple peu ordinaire (ruban moucheté, 6è partie) : Bon, en temps normal, je ne publie le lien que des fics terminées. Mais là, vu que l'auteur ne nous a pas abandonné, je prends le risque de noter la fic. Ici, elle commence fort de nouveau et tente de nous coller la trouille. C'est presque réussi, mais je savais que cela finirait bien pour un enfant dans un torrent. Pour le reste, je ne dis rien, mais elle m'a encore fait douter. Je me suis dit "osera-t-elle ou pas?" et je ne vous donnerai pas la réponse. Sachez que suivre sa fic est un plaisir !

Le pitch : Ils s'étaient perdus de vue durant 4 ans et les voilà de nouveau réuni,même si beaucoup de choses ont changées depuis leur séparation.Holmes osera-t-il assumer les sentiments qu'il éprouve ? Ou bien les fuira-t-il, comme il l'a fait il y a 4 ans ?

 

Pourquoi Holmes aurait-il pu se marier : petit délire de l'auteur en réponse à celui de Calimera avec les 20 raisons pour lesquelles Holmes ne s'est et ne sera jamais marié.

Le pitch : Pourquoi Holmes n'aurait-il pas pu se marier? Imaginons qu'un jour, il ait rencontré une femme de sa trempe...Il l'épouse et lui fait deux enfants... Petites énumérations des raisons et petites scènes du quotidien...

 

Requiem pour une ombre : Nous sommes en mars 1888. Sherlock Holmes a résolu l'affaire de son client, le roi de Bohême. Résolu ? Pas tout a fait... Il s'est fait battre à plates coutures par un adversaire à sa taille, une femme : Irène Adler. Il avait cru la piéger, mais elle l'a devancé et s'est enfuie, promettant de ne pas publier la photo compromettante d'elle et du roi. Elle s'est mariée depuis peu et elle est heureuse. Le roi est content. Voulant donner une récompense à Holmes, ce dernier n'avait demandé qu'une chose : le portrait de la belle contralto Irène Adler et quand il y fera allusion, ce sera sous le titre honorable de LA femme.

Histoire écrite pour le concours lancé par Rikku-chan de "fanfic fr" où il fallait s'inspirer de la musique au violon intitulée « A postcard» du compositeur Henry Purcell, musique reprise dans le film « Orgueil et préjugés ». Voilà ce que la musique m'a inspiré.

OS inspiré de « Un scandale en Bohême » de Sir Arthur Conan Doyle et de l'épisode du même nom de la série « Sherlock Holmes » tourné par la Granada dans les années quatre-vingts (84).

Le pitch : Holmes est nostalgique, torturé par les sentiments qu'il a éprouvé pour la belle Irène et il joue du violon, composant une ode pour elle. Le texte est encore meilleurs lorsque l'on écoute la musique qui a inspiré l'auteure. Pour son O-S, elle a dû s'inspirer d'un autre chapitre, parce que j'en avais lu un où Holmes faisait pleurer son violon, mais ce n'était pas pour Irène, mais pour Hélène Stoner, personnage central de sa grande saga.

 

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Elyonportrait : auteur marrante, privilégiant plus les pastiches que le respect pur et dur du canon, à l'opposé de lilou0803. Mais j'ai bien ri en la lisant, même si j'ai dû faire l'impasse sur son orthographe et sur sa manière spéciale de faire les dialogues. Malgré tout, le ton des histoires vaut bien que l'on ferme les yeux sur ses grands soucis orthographiques qui ne sont pas dû au m'en-foutisme, comme chez certains auteurs. Un dans ma classe en souffrait et c'était la galère pour les contrôles d'orthographe.

 

51 choses que Sherlock Holmes ne doit pas faire : Hilarant !

Le pitch :  une petite liste de ce qui n'est pas autorisé à notre détective préféré. Basé plus sur la série avec Jeremy Brett. bonne rigolade.

 

41 choses que ne doit pas faire le Dr Watson : Hilarant aussi !

Le pitch : cela fait suite à la précédente, mais en version Watson.

 

Les ombres de la rue : apparition d'une femme que j'aime par-dessus tout, j'ai nommé : Irène Adler ! Histoire qui m'a fait rire, surtout avec les réparties des protagonistes. Passez outre de l'ortho, vous ne le regreterez pas, même si son Holmes n'est pas très canonique.

Le pitch : les Enfants des rue disparaissent, certains sont tués, l'affaire est confié à Sherlock Holmes par une personne auquel il ne s'attendait pas du tout toujours basé sur la série avec Jeremy Brett.

 

Un pari stupide : Une scène qui ne se trouvait pas dans le film de Ritchie, mais plus agréable à lire que sa version slashique... Irène, de nouveau. Scène de sexe soft.

Le pitch : petite scène du film revisitée. Quand Irène se fait prendre à son propre jeu, ou quand deux amoureux décident qu'il est temps.

 

Les femmes de glace : Irène en mauvaise posture et Holmes peut disposé à lui venir en aide. Chamailleries entre eux et enquête policière sur l'autre continent : les Etats-Unis.

Le pitch : Mycroft Holmes recueille chez lui une personne bien connue de Sherlock Holmes. Son frère lui confie l'enquête mais en acceptera-t-il seulement les conséquences ? crépage de chignon en perpective pour les amateurs de scène de ménage en tout genre.

 

Baker Street telegrammes : Encore un chouette moment passé à rire. Il fallait y penser, l'auteure l'a fait et la présence d'Irène m'enchante.

Le pitch : Petite missive de la vie quotidienne entre Holmes et les différents personnages, basés sur la série Granada avec Jeremy Brett !

 

La singulière histoire de l'escarboucle bleue : Un subtil mélange avec le film "ce que veulent les femmes" puisque Holmes va entendre toutes les pensées des femmes, que ce soit madame Hudson ou Irène Adler... Petite précision, le chapitre 9 qui contient le moment "croustillant" fut écrit par Belette2911. Comme quoi, les auteurs peuvent dépanner les autres en manque d'inspiration. Elle a bien négocié la partie sexe, mais est restée sobre comparée à ses lemmons dans sa propre fic.

Le pitch : La drôle d'histoire d'un petit diamant bleu ou comment Holmes se retrouve à lire dans les pensées des femmes après avoir été foudroyé. Rigolade et gros délires en perspective, romance comme d'habitude.

 

Un couple courant d'air : Le retour d'Irène pour une autre histoire, avec des moment hilarants (Holmes et un bébé), des moments plus tendres aussi et une petite surprise de l'auteure. Mais je ne divulgerai rien.

Le pitch : Mary accepte de vivre à Baker Street pour ne pas séparer les deux fidèles amis, mais elle n'est pas encore au courant de tout dans cette maison. Qui est cette jeune femme qui vient et repart à sa guise? La curiosité pas un si vilain défaut que ça!

 

Une autre vision des choses : Là, j'ai été surpris pour le coup. Je ne m'attendais pas à ce genre d'histoire. Pour finir, j'ai tout lu et je ne regrette pas. C'est très spécial et une pointe de fantastique.

Le pitch : Quand Holmes joue avec un grimoire d'alchimiste, récupéré d'une enquête et que ça tourne mal. Watson se demande si son ami ne ferait pas mieux de réfléchir à deux fois avant de jouer avec son laboratoire.

 

La troisième fille : Encore une histoire de cette auteure très prolifique. Une enquête avec Irène.

Le pitch : Une jeune fille, complétement perdue au 221 Baker Street, un Watson partit dans sa famille et une certaine Irène Adler comme intérimaire, remplaçante du bon Watson dans cette affaire aussi épaisse q'un brouillard londonnien!

 

Sherlock-Irène, un gars, une fille : Parodie de la célèbre série. Humour à prendre au second degré. Certains gags passent mal dans l'époque victorienne, mais mention spéciale à la belle-mère qui vaut bien la mienne. Je devrais prendre exemple sur ceux donnés par Elyonportrait, tiens.

Le pitch : Petites scènes de la vie de couple de sherlock et Irène, inspirées "d'un gars, une fille".

 

Un moment de réconfort : l'auteure s'inspire de la série "Sherlock" de la BBC pour nous faire un joli petit OS tout mignon, guimauve aussi, mais face à des slash "Sherlock/Watson" qui pulules, j'aprécie. Mention toute spéciale à l'auteure qui a fait des très gros efforts pour nous laisser le moins de fautes possibles. Elles sont toujours là, mais je tire mon chapeau.

Le pitch : Pour Molly, Sherlock fait partie des murs, il a ses habitudes quand il vient au labo. Elle attend toujours avec un impatience ce moment de la journée, mais pourquoi aujourd'hui il ne semble pas comme d'habitude?

 

Hohana : Sherlock BBC, toujours. Là, je vais remecier l'auteur d'avoir fait usage d'une bêta-correctrice (belette2911, en l'occurence, ces deux là doivent bien se marrer) qui a retiré quasi toutes les fautes (elle en a laissé, je les ai vues) et a corrigé aussi les dialogues en forme "théatrâles" d'Elyonportrait. Un vrai plaisir pour la lecture, une histoire super, une chouette enquête, Molly et Sherlock obligés de travailler ensemble... Un pur bonheur !!

La fic est terminée et l'auteure a laissé à belette2911 carte blanche pour le lemmon. "Les enfants, allez jouer ailleurs", comme elle le dit. Le lemmon est excellent, sobre et correct.

Le pitch : Sherlock adore fouiner sur les scène de crimes, récolter les indices, retourner quelque cadavres, mais cette fois-ci, il va trouver une surprise de taille qui lui fera réviser son jugement sur les autres.